Écrire

Les habitudes c’est réconfortant, on ne se pose pas de questions, on fait les choses machinalement sans réfléchir, c’est rassurant. On connait, il n’y a pas de risque, mais aussi çà emprisonne. L’inconnu fait peur, on se met des barrières, çà peut empêcher d’avancer. On se donne des excuses. Pourtant quelquefois, il faut se mettre "en danger" rompre avec les habitudes pour progresser. Aller de l’avant, s’interroger. Restons curieux, curieuses.
Moi je pense que les habitudes qu’on prend (…)

Tard dans la nuit, dans une galerie marchande, un bar reste ouvert. C’est le désert autour de ces quatre personnages. C’est un endroit où ils ont l’habitude de se retrouver après une nuit de travail. Ils se détendent en buvant un verre. Que font-ils ? Que disent-ils ? Peut-être des banalités ? refont-ils le monde ? ou commentent-ils les actualités ? Seul le barman s’active, il travaille encore.
Je rencontre un homme qui en marchant vient vers moi, très sympathique qui m’invite à boire un (…)

Les gens d’en haut, les gens d’en bas : Quelle drôle d’expression ! Il y aurait une échelle de grandeur, de valeur. Cela laisse supposer que c’est mieux en haut plutôt qu’en bas. Faut-il toujours mettre les gens dans des cases ? Je sens dans cette vilaine expression, du mépris, de la domination, du pouvoir. Pourquoi encore séparer les gens, les uns et les autres. Au contraire on devrait avancer ensemble. Pourquoi certains seraient supérieurs ? Qu’est-ce que cela implique. En quoi serait-on (…)

J’ai du mal avec le mot "guerre" et pas seulement aujourd’hui. Je ne comprends pas, car les gens qui y vont pour défendre leur pays est-ce qu’ils ont vraiment envie de tuer celui d’en face ! Ce sont les gouvernements, les politiques qui ne sont pas d’accord entre eux et pas forcément le peuple. Je n’ai jamais compris les guerres ni celles d’hier, ni celles d’aujourd’hui. Avec les tempêtes qui nous arrivent on voit bien que la planète va mal. Les actualités me font dire que, au lieu de faire (…)

Je me souviens que pour les premiers écrits, je n’écrivais qu’une seule phrase et maintenant je réfléchis plus et mon article est plus long. Je me souviens que j’avais peur de proposer un thème, mes peurs se sont vite dissipées. Je me souviens que toute l’équipe de l’atelier m’a aidée à préparer mon dossier pour ma formation. je me souviens que quand mes allocations m’ont été retirées on a fait un article sur le site pour faire savoir que cette situation était insupportable. Je me souviens (…)