Questionnaire "à la Bernard Pivot"
Votre mot préféré ?
Paix : être ensemble, se respecter au lieu de vouloir être le plus fort et être les uns contre les autres.
Abracadabra : car il est magique et peut être employé à toutes les sauces.
Oser : j’aime ce mot car il encourage à faire, à créer, à s’exprimer même si on n’est pas sûre de soi, il aide à avancer, à gagner de la confiance en soi.
Volubilis : c’est ce que répondait à cette question l’héroïne d’un livre que je lisais petite. Elle se faisait gronder par la maîtresse et je trouvais cela injuste.
Le soleil : car il fait toujours beau quand il y a le soleil, cela fait chaud au cœur.
Persévérance : il faut toujours recommencer et ne pas rester sur un échec.
Arc-en-ciel : la beauté de la nature.
Le sourire : il motive, il requinque, il séduit, il donne du baume au cœur. Il met debout une personne, lui donne de la joie, de la vie. Il peut même sauver des vies.
Respect : pour les personnes d’abord, pas de relation possible sans respect de l’autre, mais aussi, même si c’est différent, pour les animaux, les objets ...
Animaux : j’aime les zoos.
Le mot que vous détestez ?
Moche : je n’aime pas qu’on se moque de ce que je fais.
Merde : on glisse dedans du pied droit ou du gauche.
… : aucun mot ne me vient.
Mademoiselle : un mot qui n’a pas d’équivalent pour les hommes et qui considère qu’une femme non mariée n’est pas une femme à part entière.
Obligation.
Connerie : car il ne présage jamais rien de bon.
Les gros mots : ça donne de l’irrespect aux gens quand tu dis un gros mot.
L’impatience : elle veut précipiter les choses car pour certains, le temps c’est de l’argent. Ils veulent gagner du temps, pour ne pas arriver en retard. Je n’aime pas trop les gens trop pressés.
Mépris
Imbécile : trop souvent entendu.
Votre "drogue" favorite ?
La mousse au chocolat : la mousse au chocolat du supermarché OTERA au format familial. C’est un énorme délice. Je raffole de cette mousse au chocolat.
Le fromage : je ne peux pas m’en passer.
Me planquer dans un coin avec un bon bouquin.
Nicopass : pour ne pas fumer.
La lecture : j’ai toujours un livre pas loin de moi, j’aime les romans, les essais, les BD ... Lire permet d’élargir le monde dans lequel on vit tous les jours.
Internet : depuis peu, je passe un temps fou sur tout ce qui est mails, ateliers numériques, canva, mastodon, portable...
Le Fromage : je l’adore.
La lecture : elle m’éloigne et me rapproche à la fois du monde.
Le café.
Les cigarettes : quand je n’ai pas de cigarettes je me sens plus stressée, cela me calme.
Le son, le bruit que vous aimez ?
La pluie fine sur les vitres : elle permet de rêver et de s’évader.
La musique de l’île de la Réunion : j’aime la musique de la Réunion car j’aime danser le zouk.
Le son des vagues : elles me bercent.
Le chant du merle : il siffle sur l’antenne de télé de l’immeuble en face du mien et j’aimerais comprendre son langage.
Le calme quand il a neigé : tous les bruits sont étouffés, cela dégage une atmosphère étrange, sereine.
Les rires des enfants qui jouent : ils fusent sans qu’on comprenne pourquoi.
Le chant des oiseaux : je trouve cela agréable, apaisant.
Oxygène 8 de Jean-Michel Jarre : mais, parfois aussi le bruit du silence car même dans le silence, on entend des petits bruits qu’on n’entendrait pas avec la musique un peu forte.
La musique rythmée : ça me donne du baume au cœur, j’ai envie de danser même si je ne sais pas danser.
La marée montante sur les galets, les rochers.
Le son le bruit que vous détestez ?
Le bruit d’une perceuse ou d’une disqueuse : cela me rappelle la roulette du dentiste quand j’étais petite ... cela me vrille la tête.
Le vacarme : mes oreilles sont sensibles au bruit.
Le bruit de la foule : il me fait peur.
La craie qui glisse sur le tableau : bruits très aigus.
Le bruit des outils de bricolage de mon voisin : impossible de faire la sieste. Il a heureusement déménagé.
Le grincement de portes : il interroge, il est inquiétant.
Des gens qui crient pour rien : certaines personnes sont toujours en train d’être en colère, elles crient pour rien alors qu’elles ont tout pour être heureuses.
Le marteau-piqueur : le marteau-piqueur ou autres engins de chantier qui font des bruits assourdissants.
Tout grincement, y compris les grincement de dents !
Les cris : mon jeune voisin râle depuis 4 mois environ car je serais bruyante. Pourtant je suis là depuis 40 ans et je n’ai jamais eu de remarques.
Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Merde ! : sans commentaire.
Mercredi : ça évite de dire "merde".
Putain : je voudrais l’exclure de ma bouche. C’est un mot grossier mais il m’arrive de le dire.
Putain ou merde ou les deux : ce n’est pas très élégant, mais je ne contrôle pas toujours.
Merde, merde, merde : il me relie à une personne disparue qui me manque tous les jours.
Oh zut, flûte.
Pistache : Je n’aime pas les gros mots, pourtant quelquefois cela m’échappe.
Merde... : c’est surtout quand j’efface un texte que je n’ai pas enregistré.
Merde : je le dis souvent quand je me trompe "Et puis merde ...".
Oh, le traître ! : jeune adolescent, c’était oh, le traître ! à chaque point gagné par mon adversaire et ami d’enfance, ça l’amusait que je disais cela.
Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Annie Ernaux : tous ses livres sont très importants pour moi. Mais je ne crois pas qu’elle apprécierait.
Marie-Aleth Grard : je voulais une femme et ce sont les idées d’ATD Quart Monde qui sont les plus proches de mes valeurs et je trouve qu’elle a fait beaucoup, contrairement aux femmes politiques que je connais.
...
Mon fils de 42 ans : il est beau, souriant. Il me ressemble beaucoup.
Aucun, aucune : pourquoi mettre des personnes sur un billet de banque ! Les billets de banque ne sont pas des supports pour rendre hommage à quelqu’un, on peut le faire autrement.
Soprano : j’aime ses musiques, il passe des messages sur l’actualité.
Bernard Pivot : c’est un grand monsieur.
Un homme ou une femme qui milite pour la paix.
Lucky Luke : pour taquiner les Daltons.
...
Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ?
Nettoyer les trains : j’ai travaillé dans les trains. Un travail dur et pénible.
Professeure des écoles : parce que j’ai du mal à écrire.
Boucher : tuer, dépecer des animaux, entendre leurs cris, voir le sang qui gicle partout . . .
Maçon : je ne veux pas faire du travail physique.
Astronaute : le logement est beaucoup trop petit.
Aide-soignante, infirmière, chirurgienne : j’ai horreur du sang, des piqûres, des perfusions ...
Maîtresse institutrice : je ne suis pas à l’aise avec les enfants.
Déménageur : car il faut être endurant et fort et je n’ai pas cette qualité-là.
Commercial : je n’aime pas cette technique de vente, j’aurai l’impression de forcer la main.
Travail de bureau : quand j’étais jeune, je ne voulais surtout pas travailler entre quatre murs, et pourtant c’est le métier que j’ai toujours exercé. Mais bon...
La plante l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être incarné ?
Un tigre : cela protégera l’espèce et c’est majestueux.
Un oiseau : pour pouvoir aller de ville en ville et voir vivre les gens que j’aime.
Un arbre : il est protégé par la nature des personnes malveillantes.
Un escargot : il a tout avec lui, et il n’avance jamais droit.
Le chat : il est indépendant.
Un chêne : car il semble bien implanté, quelqu’un sur qui on peut compter.
Un oiseau : je pourrais aller où je veux, voyager et voler.
Une mésange : j’aime bien le mot mésange car il m’évoque de la douceur.
Mon chat : avec les humains, je ne sais pas vraiment quel animal, plante ou arbre je voudrais être car les humains détruisent tout. Je dirais tout de même mon chat à condition d’avoir un bon maître.
Un bon gros chien : fidèle à son maître.
Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ?
Rien : je n’ai pas d’idée.
"N. je t’aime." : j’ai tellement fait et donné dans ma vie sur terre, et malgré les douleurs, j’aimerais bien être heureuse.
Bienvenue.
Tes péchés sont pardonnés... Viens, entre, tu es attendue.
... : Je n’ai pas réfléchi, le plus tard possible.
Va au paradis.
Entre et sois consolée.
"Tu vas les revoir" : mais la question ne se pose pas.
Ce que tu as fait sur terre est bien.
Je voudrais qu’il me dise je te pardonne : afin d’être en paix avec moi-même le jour où je serais devant lui car on a toujours à se faire pardonner.