Faisons parler les images

Je n’ai pas le plaisir de connaître cet endroit superbe, de toutes manières, les sources, les cascades, les chutes d’eau sont des endroits magnifiques qui forcent le respect pour l’organisation naturelle des choses.
Une exception cependant, les chutes du Niagara, qui sont devenues un lieu de mercantilisation qui défigure le paysage.
Sinon, à part ça, y avait-il des compétiteurs pour les Darwin Awards sur ce cliché ?

Une famille avec ses deux chiens se reposent sur l’herbe.
Ils parlent des vacances.
C’est l’été, ils restent à Brest dans leur quartier.

Un paysage de carte postale d’été, où les nuages ont pris congé.
Plage de Lampaul.
Les bleus du ciel et de la mer pourraient se confondre sans le vert profond des terres qui tranchent entre eux, barrière de roches et d’herbes brûlant sous le soleil ardent.
La couleur du soleil, on ne la voit pas.
Mais on devine sa présence aux éclats d’argent qui scintillent sur l’eau frissonnante.
En dessous des apparences, je l’imagine froide, glacée même... pour m’y être déjà baignée.
Dans le bleu azur, deux bateaux mouillent l’ancre et un couple de nageurs audacieux se mouille jusqu’aux hanches, défiant la morsure de l’eau.
Sur le sable qui retient la chaleur du jour, je me sens comme ce monsieur tout habillé assis sur son rocher au chaud et qui contemple avec admiration et inspiration ce paysage plein de contrastes.

Cette photo me fait penser à la chanson "Mistral Gagnant" de Renaud
" À m’asseoir sur un banc cinq minutes avec toi ...."
Et puis se poser un petit temps au soleil sur un banc, sentir une légère brise sur le visage quand il fait ni trop chaud ni trop froid juste bien. Être entourée des gens qu’on aime et en plus de son ou ses chien(s), le bonheur. C’est dans les choses simples qu’on trouve le BONHEUR le vrai !

Photo Thierry Richard
TÉLÉPHÉRIQUE
Je suis un téléphérique, un moyen de transport qui relie Les Capucins au boulevard Jean Moulin et inversement. Si vous me voyez, c’est qu’un curieux ou une curieuse a choisi de me prendre en photo. En ce moment, ce n’est pas la grande foule. Il n’y a que quelques voyageurs assis sur les quelques bancs à disposition. Au centre, un cercle où on peut voir à travers pour admirer en dessous la Penfeld. Mais si vous pensez avoir le vertige, vous n’êtes pas obligés de regarder. J’ai une jumelle, une autre cabine téléphérique. À mi-parcours, on se croise. Parfois, nous sommes en panne. Certaines personnes me craignent. Elles ont peur que je tombe dans la Penfeld. Elles ne veulent pas prendre le risque de voyager dans ma cabine. Je suis le premier téléphérique urbain. D’habitude, on me trouve en montagne. Je suis très pratique pour aller à la médiathèque François Mitterrand par exemple, qui se situe dans cette énorme surface appelée Les Capucins.
Pour ceux qui ne m’ont encore jamais pris, je vous souhaite la bienvenue, et comme disait le pape Saint Jean-Paul II : "N’ayez pas peur".

Rencontres canines
Cela me rappelle la période du confinement, où on était enfermé chez soi, mais on avait la permission de se promener avec son chien. C’était la récréation !
Pourtant, nous les chiens on voulait plus d’espace, on voulait courir, gambader. Enlevez-nous nos laisses.
Donnez-nous notre liberté.
La liberté de jouer, de vivre notre vie .
Et vous, vous n’avez pas envie de vous libérer, de profiter de la vie tout simplement ?

Cette photo me fait penser à Charlie Chaplin en train de faire ses courses, car le visage de l’homme sur la photo me fait beaucoup penser à lui en comparaison. La photo me fait dire que c’est une vieille photo, vu la façon dont elle est prise.

Photo collage Ernest Pignon Ernest
Entre nombrilisme et noctambulisme,
Je voyage, enfermé dans mes souvenirs,
Ou alors je marche vers mon avenir ?
Entre pessimisme et optimisme,
Une seule chose est sûre, c’est qu’il fait froid,
J’emporte donc ma couverture avec moi !

Réunion au sommet.
Que se passe-t-il pour que ces trois personnages se retrouvent. Un quatrième arrive un peu en retard, il vérifie qu’il n’est pas suivi, c’est donc une réunion importante.
Ce qui se trame n’inspire pas confiance même s’il ne faut pas se fier, juger les gens à leur allure, mais ces personnes-là, quand même, n’inspirent pas confiance, leurs visages sont durs.
Ils discutent probablement du sort du devenir du personnage tout à droite, il semble enfermé, prisonnier. Il doit venir d’ailleurs, il est différent et la différence peut faire peur, créer de la méfiance, être interprétée comme une menace.

La peinture éveille mon imagination.
Je lance des coup de pinceaux par-ci par-là et je vois que mon image prend vie tout de suite.
Je pourrais mélanger une couleur à une autre pour former une autre. C’est comme la vie,
quand on est ensemble on voit que les choses avancent plus vite que tout seul.

Aujourd’hui c’est la journée bien-être des jeunes à la découverte de nouveaux horizons, sur des livres de haute qualité, dans un jardin d’une pelouse verdoyante.
Ces jeunes sont concentrés sur ces livres magnifiques sur la nature.
Il fait beau ce jour-là, le soleil brille.

Peinture Baptiste Richez
Enfant au chien
A quoi penses-tu demande le petit chien en s’adressant au jeune garçon ? Je suis là, dans tes bras en jappant pour attirer ton attention. Toi tu regardes vers ailleurs, avec pourtant un sourire en coin, mais l’air songeur comme si, malgré tout, quelque chose te tracassait ...
Tu as raison, mon cher ami fidèle. Je n’aime pas être observé et pris en photo par surprise par un inconnu. Si j’osais, je lui arracherais son portable des mains et le jetterais dans l’eau dans ce petit square où je me sentais si paisible par ce bel après-midi de printemps. Mais bon, prenons-en notre parti, mon cher ami fidèle, et contentons-nous de fusiller cet inconnu du regard !

Qu’y a-t-il donc sur cette belle couverture rouge ? Au centre, je vois d’abord un tout petit chien, au pelage bleu marine, tacheté de blanc. Il est assis, et regarde, un peu apeuré semble-t-il, un chien beaucoup plus gros que lui, au poil noir, avec une énorme tête . . . un chien ? je devrais dire, je crois, une chienne, car le regard posé sur le petit chien bleu me parait plein de tendresse. Je pense qu’elle est sa maman et tout à l’heure, elle va sûrement le prendre entre ses pattes et le bercer tendrement.
Mais il y a un troisième animal . . . peut-être celui qui a fait peur au petit chien ? Car il s’agit d’un chat, un grand chat au grand cou, tout jaune. Il n’est pas assis, mais debout derrière les deux autres chiens. On voit bien ses griffes blanches, menaçantes peut-être ? Mais que disent son visage et sa présence là, avec les chiens ? Il parait fier de dominer, mais je ne sens pas en lui d’intention belliqueuse. Je crois que bientôt, on les verra s’amuser tous les trois ensemble, sur la belle couverture rouge !

Il y a eu la pluie d’étincelles, puis le chat est devenu tout bleu, comme les murs de ma chambre. Il ne bouge plus du lit, il scrute le vide.

Il y a les cornichons, ils se sont mis à hurler, mais on ne les entend pas. Leurs voix ne traversent pas le verre du bocal.

Il y a la voiture, elle a perdu ses roues. Elle ne servira plus à rien, la maison flotte maintenant au milieu de l’océan. Papa a fait sa valise pour rien.

Je me demande enfin à qui elle est, cette main qui m’invite à la suivre au fond de mon coffre à jouets.

Peinture Gwendal Lemercier
Goldorak.
Actarus, fulguropoing, astérohache, golgoth...
J’ai découvert ce dessin animé, je devais avoir 10 ans
Et je suis resté fasciné comme beaucoup de gamins de ma génération.
Ma sœur avait le 45 T de Noam et on la chantait ensemble.
J’ai appris qu’une nouvelle version est sortie en 2024.(série)
Goldorak U, comme le super U et ses réduc.

Les voilà qui dévalent la colline et fuient dans la nuit bleue.

Ils sont encore en meute, mais ils savent que bientôt ils ne seront plus les plus forts.

Bien sûr, ils font encore peur, leurs dents sont acérées.

Mais désormais on les voit, on les traque. La Lune les éclaire et ce sont eux qui tremblent.

Car les voix s’élèvent, grondent, et dénoncent leurs mots et leurs sourires faussement enjôleurs et pleins de dangers, leurs sales regards et leurs sales pattes qui étouffent, qui giflent, qui frappent et qui tuent.

Aujourd’hui ils savent qu’ils vont perdre.

Uluru Rock
Site célèbre au cœur du bush australien !

Rocher sacré des Aborigènes, aujourd’hui interdit aux touristes pour préserver sa roche friable et avant tout, désormais propriété des Aborigènes.
Le gouvernement tente de réparer les actes impardonnables des colons, en réattribuant leurs terres aux Aborigènes.
Uluru, symbole de la Terre Mère s’impose par sa présence comme un rappel de la force éblouissante de la Nature sur l’Homme.
Uluru témoin de la création du monde.

Huile sur toile Modigliani
Sur cette image, on voit un homme assis et accoudé à une table.
L’image représente pour moi, un homme qui a l’air pensif. Plongé dans une profonde pensée, il pourrait se questionner sur plein de sujets.
Peut-être que ces sujets auxquels il pense, l’intriguent.
Sa position assise pourrait dire aussi un ressourcement, après une longue journée de travail.

Si des auteurs autrices des illustrations qui ont été les supports de nos écrits étaient froissé.es de l’usage de leurs travaux, nous retirerons ces travaux de notre site.

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