Pourquoi ? Pour quoi ?

  • Pourquoi suis-je ici ?
  • Pourquoi je me pose des questions ?
  • Pourquoi apprendre ?
  • Pourquoi progresser ?
  • Pourquoi faut-il suivre l’opinion de tout le monde ?
  • Pourquoi ce sont les questions sans réponse qui m’attirent le plus ?
  • Pourquoi est-il si difficile de se mettre vraiment à la place des autres ?
  • Pourquoi ne puis-je pas arrêter de penser ? Pourquoi la mort d’un enfant ?
  • Pourquoi la souffrance ?
  • Pourquoi l’argent ne va pas à ceux qui le méritent le plus ?
  • Pourquoi tant de haine ?
  • Mais aussi pourquoi l’amour ?...
  • Pourquoi les gens ne sourient pas beaucoup ?
  • Pourquoi les gens cherchent toujours des problèmes ?
  • Pourquoi je ne maigris pas ?
  • Pourquoi je ne peux pas m’habiller comme les autres ?
  • Pourquoi les gens ne s’arrangent pas et se disputent ?

Pourquoi ou pour quoi ?

  • Pourquoi tant de méfiance face à ce qu’on ne connait pas ou peu ?
  • Pourquoi tant d’hésitation pour se lancer dans la nouveauté ?
  • Pourquoi tant de peurs face au changement ?
    Pour quoi ces questions :
    Des interrogations que l’on entend souvent, et qui je pense ont peu de sens car, généraliser réduit la pensée. Partout, tous les jours de belles initiatives voient le jour, entraînons-nous à les percevoir, les encourager, les prendre en compte et peut-être qu’ainsi notre monde serait plus juste.
  • Pourquoi les personnes en grande pauvreté se sentent inutiles, bonnes à rien ? On a l’impression que notre voix ou nos convictions ne servent à rien.
  • Pourquoi les paroles s’envolent et les écrits restent.
  • Pourquoi tant d’étapes dans une seule vie ?
  • Pourquoi pas assez d’écoute, d’échanges ?
  • Pourquoi être heureux ou malheureux ?
  • Pourquoi tant d’injustice ?
  • Pourquoi lui et pas l’autre ?
  • Pourquoi savoir lire ou écrire, si on peut communiquer autrement ?
  • Pourquoi des pauvres, des riches ?
  • Pourquoi pas plus d’entraide, de mains tendues ?
  • Pourquoi vieillir ?
  • Donc ce « pourquoi ? » est une grande question, j’aurais pu continuer à écrire sur ce « pourquoi ? » mais justement trop de pourquoi !