Éco-anxiété

C’est la grande peur. La peur de l’avenir est à notre porte. La chaleur du climat augmente. Dans certaines régions il y a beaucoup d’inondations, de sécheresse, sans oublier les ouragans. Plus de nourriture dans certains pays, certaines îles. Qu’allons- nous devenir demain ? Tout augmente, l’essence pour les voitures, la nourriture qui ne cesse d’augmenter et pourtant l’être humain continue à jeter la nourriture dans les poubelles ou dans les rues. Je suis très en colère en pensant que certains pays ont faim et d’autres jettent. Je suis parfois prise d’anxiété, mais je n’y pense pas trop, pour le moment. Il y a de quoi péter un câble ! Deux câbles même !!

Vous avez dit : planète, écologie, pollution.
Les nouvelles ne sont pas bonnes, le climat se détraque, de plus en plus de tempêtes, de typhons, de tornades, d’incendies (les forêts brûlent) la sécheresse (manque d’eau) les températures grimpent.
Nous sommes de plus en plus nombreux, nous consommons de plus en plus. Du coup, on croule sur/sous les déchets, on ne sait plus qu’en faire. Qu’allons-nous laisser aux générations futures ! Mais ce qui m’inquiète c’est que tout le monde n’en a pas conscience, les besoins augmentent, on continue à se servir des ressources de la planète, maintenant on sait que ces ressources ne sont pas inépuisables et qu’il faut les préserver.
Oui, tout cela m’inquiète, m’angoisse, dans la vie de tous les jours on se rend bien compte que les choses changent, les médias nous alertent, les scientifiques aussi et pourtant il y a toujours des climato-sceptiques, ils ne veulent pas voir la réalité en face, ils se persuadent du contraire. Cela fait peur, quelques pays ne veulent pas ralentir leur activités, ils se voilent la face.
Au nom du progrès, c’est la course à toujours plus, consommer plus, s’enrichir et exploiter plus. Ne pourrait-on pas se contenter de profiter de ce que la planète nous offre.

La façon de lutter contre le réchauffement climatique .. : il faudrait que toutes personnes se sentent plus ou moins responsables de la situation.
Ce qui provoque mon anxiété c’est qu’il n’ y a plus de saisons et qu’on ne puisse plus avoir de l’eau 💧 .
Je sais, pour vivre dans la précarité, que je ne peux plus acheter des fruits et des légumes. Le sud de la France est en sécheresse, cette situation a des conséquences pour les agriculteurs, ils subissent une perte de leurs récoltes et donc pour nous un impact sur les prix des produits frais.
Ah ... si tous les citoyens du monde étaient raisonnables !

On y est et pourtant...
Depuis longtemps, des alertes sont lancées. C’est un peu comme la pauvreté on regarde de loin, quand on n’est pas directement concerné, et de temps en temps pour se dédouaner de pouvoir "vivre bien", on fait quelque chose et puis continue notre vie habituelle sans rien changer.
Mais là aujourd’hui, nous ici, nous sommes directement impacté : chaleurs inhabituelles, manque d’eau, inondations. Ces effets sont dus à la consommation des pays riches. Ces effets sont subis depuis longtemps dans des pays plus pauvres et amènent des populations à devoir quitter leurs pays pour pouvoir vivre.
Aujourd’hui, nous commençons à être victime de cet emballement. On sent l’inquiétude, l’angoisse grandir, qui se traduit différemment : fatalité, inaction, culpabilité responsabilité, colère, actions...
On ne peut plus ne pas savoir et continuer comme si de rien n’était.

Eco-anxiété, peut-être une maladie du siècle avec tout ce qu’on entend et tout ce qu’on voit.
Comment peut-on sauver notre planète avec le réchauffement climatique ?
Faisons déjà un effort pour éviter de laisser nos papiers par terre, pour faire un compost si possible pour nourrir ses petites bêtes qui vivent dans la terre.
Comment éviter la sécheresse, les incendies qui peuvent se produire, voila pourquoi on vit dans un monde de stress.

En 2100 la planète se sera réchauffée de 2 à 4° (cela dépendra de ce que nous ferons ces toutes prochaines années), la vie alors sera intenable dans plusieurs régions du monde et la mer aura monté d’environ un mètre à cause de la fonte de la glace des pôles. Alors je comprends que les jeunes qui vont vivre cette période de grand réchauffement soient inquiets, parfois stressés, en colère et ressentent ce que l’on appelle depuis peu « l’éco-anxiété ». Beaucoup se mobilisent contre les politiques qui ne prennent pas assez en compte ce défi. Des jeunes tentent d’inventer de nouvelles façons de vivre. Je les comprends et les soutiens. Mais pour moi, que mon âge rendra moins affecté biologiquement, je ressens surtout des regrets, et même de la honte. Parce que je sais que nous n’avons pas été assez en alerte, que ma génération de « boomers » n’a pas pris la dimension du défi à relever. Je souhaite que la peur, qui est dit-on « mauvaise conseillère », soit plutôt une source d’énergie pour avancer ensemble dans la sobriété, l’entraide et la créativité. Et non cause de malheur individuel et collectif.

Inondations désastreuses, chaleurs accablantes et absence des pluies qui apporteraient aux sols l’eau dont ils ont besoin pour demeurer fertiles . . . voilà ce qui devient de plus en plus fréquent depuis quelques années. Alors, nous sentons planer sur nous la menace d’un univers impossible à habiter pour les humains que nous sommes, tous en reconnaissant que nous sommes en partie responsables de cette situation à cause de nos dépenses excessives de charbon, de pétrole, de gaz, nos gaspillages d’eau etc . . . Et la panique peut s’emparer de nous : que deviendront les générations futures, nos enfants, petits-enfants, arrière petits - enfants ? Y a-t-il moyen de sauver la planète, les humains qui l’habitent, et toute vie animale et végétale ? L’angoisse peut monter en nous quand nous envisageons les souffrances énormes qui frapperont tous les vivants à mesure que la planète se desséchera et deviendra un désert . . . Que disent les scientifiques ? Est-ce inéluctable ?
Je ne sais pas . . . Je peux, égoïstement, me dire : « De toutes façons, je ne serai plus là » . . . ; ou « D’ici là, la science trouvera comment faire face . . Faisons-lui confiance. » Je peux aussi rejoindre les courageux « écolos » qui, dans la vie de tous les jours, tentent de prendre des moyens – même très humbles - pour lutter contre nos gaspillages, respecter la vie et la préserver . . Avez-vous d’autres réponses ? Si oui, s’il vous plait, partagez-les !

Anxiété, le mot est fort, être anxieuse je ne crois pas, inquiète ou préoccupée est plutôt le mot que je dirais sur ce sujet. Il est évident que si on ne fait rien dans un avenir plutôt proche la terre ne sera plus vivable à cause :
– de la chaleur qui provoque des sécheresses et qui rend les terres non cultivables et qui tuent des gens, ainsi que les feux que cela provoque qui détruisent de la végétation et des forêts
– des périodes de grand froid qui gèlent les cultures
– des inondations qui engloutissent la terre, les maisons, les champs...
– des tempêtes qui détruisent tout.
Pour ma part, si on ne réagit pas vite et tous ensemble, on n’ y arrivera pas. Ce qui m’énerve c’est d’entendre des phrases comme : " C’est trop tard, c’était avant qu’il fallait faire". Sûrement que la génération d’avant n’a pas pris au sérieux le fait que la planète n’a pas des ressources inépuisables et qu’il faut en prendre soin, mais si on ne fait rien aujourd’hui, c’est demain qu’on n’ aura plus de planète.
Donc si la plupart des gens ne bougent pas, ce n’est pas une poignée de gens qui fera changer les choses. Ma question est : comment faire réagir tout le monde ? et pas uniquement dire "ce sont les gros industriels qui polluent, ce n’est pas nous qui polluons". Non c’est tout le monde !
Moi au quotidien, je fais attention à l’eau, l’électricité, l’essence que je consomme.
Je trie mes déchets, je fais attentions à ce que j’achète ; par exemple : je privilégie le vrac, ne prends pas des gâteaux avec de l’huile de palme qui détruit des forêts (petit rappel, nous avons besoin des forêts pour respirer), mange moins de viande, recycle, fais du troc, je n’achète pas des choses inutiles...
Si tout le monde faisait attention, on pourrait sauver notre planète, mais il est évident qui si nous ne sommes qu’une minorité à réagir on va dans le mur, c’est sûr !
Je ne sais même pas si en 2100 la planète sera encore vivable, si on continue comme cela.
Conclusion : je me demande comment faire réagir le plus grand nombre ?

La perspective d’un monde futur devenu désertique par la chaleur extrême ou envahi par les neiges fondues des pôles ou des hautes montagnes engendre une grande peur appelée "éco-anxiété".
Les jeunes en sont particulièrement affectés aujourd’hui, eux qui voient déjà le début de cette catastrophe engendrant la sécheresse des terres cultivables et donc une agriculture diminuée.
Les étés brûlants qui s’accentuent d’année en année provoquent un manque de pluie pourtant indispensable à la vie.
Pourtant les C.O.P réunissant les pays du monde cherchent des solutions pour retarder, ou idéalement arrêter, ce réchauffement climatique et trouvent des accords. Mais souvent les pays riches industrialisés ne signent pas ces accords. Leur responsabilité est ainsi lourdement engagée.
Les responsables scientifiques ont pourtant des solutions pour essayer de réduire le carbone en gérant, par exemple, les grandes forêts génératrices d’oxygène et combien d’autres encore...

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